Nom : Di Marzio Prénom(s) : Ornella Ipolita Angela Surnom(s) : ne vous avisez pas de lui en donner un... Âge : 38 ans Date et lieu de naissance : 2 novembre 1972 à San Diego Etat Civil : célibataire Orientation sexuelle : hétéro Profession / Activité : Procureur pour Inglewood Groupe : Law And Disorder
Nobody Knows my soul
A première vue, Ornella a tout de la parfaite femme de loi. Son intégrité est exemplaire. Toutes les mauvaises âmes qui ont tenté de la corrompre se sont heurtées à un mur et l’ont amèrement regretté. Elle poursuit le crime avec une détermination sans faille, à la limite de l’acharnement. A tel point qu’elle aurait pu prétendre au surnom de « Bulldog », qui mord et ne lâche jamais, si ce sobriquet n’avait pas manqué totalement d’élégance pour cette femme. Pourtant, cet acharnement n’a d’égal que son dévouement envers son travail d’abord, et ses (rares) proches. Dans le cadre privé, c’est quelqu’un d’attentionné, généreux, et doté d’un certain sens de l’humour.
Pourtant, à mieux y regarder, on constate rapidement qu’Ornella applique à sa facon l’adage « la fin justifie les moyens ». Il y a pour elle deux types bien distincts de criminels : ceux qui usent du crime pour leur seul profit, et ceux qui s’en servent pour le bénéfice de la communauté. Elle n’est donc pas très regardante lorsqu’il s’agit des méthodes des agents, qu’ils soient du C.R.A.S.H ou de n’importe quelle autre unité de terrain, et ce tant qu’ils sont efficaces. Par contre, elle voit d’un très mauvais œil les efforts des Affaires Internes qui, pour elle, représentent une sorte d’hérésie.
Par ailleurs, Ornella est d’un sang froid redoutable. Personne ne l’a jamais vue perdre son calme ou afficher la moindre déconfiture, même lorsque ses meilleures plaidoiries se sont vues battues en brèche par ses adversaires du barreau. Il existe d’ailleurs une sorte de pari, une « running joke » entre les avocats oeuvrant dans le coin : à qui lui ferait perdre un jour son flegme légendaire. La cagnotte est pour le moins coquette, à l’heure qu’il est… Elle est aussi parfaitement capable de faire passer toutes ses intentions sans jamais élever la voix. Elle n’a pas son pareil pour démonter un témoin tout en paraissant parfaitement courtoise, pour humilier une stagiaire maladroite avec élégance. Juste par la voix. Maîtresse d’elle-même en public, il n’y a qu’un seul endroit où son caractère latin s’exprime de facon débridée. Et rares sont ceux qui peuvent prétendre le connaitre…
How good I'm lookin'
Ornella fait partie de ces gens qui traversent la vie dans la lumière. Même couverte de boue et le crane rasé, elle attirerait toujours les regards. Malgré son salaire modeste de procureur, elle trouve néanmoins toujours moyen d’arborer des tailleurs particulièrement seyants, sans être forcément de prix. Maquillage délicat sur ses yeux noirs et sa peau de lait, bijoux discrets et cheveux noirs sagement coiffés, libres ou en chignon, complètent la panoplie. Quoi qu’il arrive, son mètre 75 et ses 68 kg sont toujours parfaitement mis en valeur. Elle donne aussi l’impression d’être portée par du coton. Ses gestes sont toujours parfaitement mesurés et étudiés, et elle semble se mouvoir sans le moindre effort. Rien de vif ou d’agressif lorsqu’elle croise les mains, désigne un accusé ou marche dans les couloirs du palais de justice. A croire qu’elle a tout fait pour gommer ses origines…
Where I'm From
Rome – 1948 La guerre n’a pas seulement fait des ravages sur l’économie légale. Les mafias ont-elles aussi grandement souffert. Pas tellement financièrement : les pénuries sont du pain béni pour ceux qui œuvrent dans l’illégalité. Mais la mobilisation des secondes mains a largement désorganisé les réseaux. La fin de la monarchie en 1946 a mis un terme aux espoirs de chacun de voir revenir l’age d’or de ce qu’on appelle désormais l’entre-deux-guerres.
Pourtant, le clan Di Marzio ne s’en est pas trop mal tiré. Luttant pour se maintenir à niveau respectable dans les années 30, le clan est devenu le premier de la ville grace à des placements audacieux pendant la guerre : le site sacré du Vatican a été un asile pour les chefs du clan, moyennant quelques dons généreux. Dès 1945, Don Ippolito Di Marzio a pu relancer ses activités illicites assez facilement, en s’appuyant sur ses frères et cousins qui avaient attendu la paix à Saint Pierre, et sur les plus âgés, qui avait fait tourner la machine durant les 6 années de triste mémoire. Outre les trafics habituels, Don Ippolito avait parié sur la contrebande des nouveaux produits apportés par les Américains. Les cigarettes bon marché, le Coca, les chewing-gums… De l’or pour le peuple, de l’argent facile pour la mafia.
Très vite, et malgré le contexte politique chaotique, la concurrence était revenue à l’assaut. Les Siciliens notamment se montraient gourmands. Très gourmands. Ils tentaient de se faire une place dans la ville, et ce n’était pas pour plaire à Don Ippolito. Le Capo Di Marzio avait pourtant l’intuition que les choses ne se régleraient pas dans les rues de Rome. Si les Siciliens venaient empiéter sur son domaine, d’autres le feraient. Déjà la ville était trop petite pour les affaires. Avec l’ordre nouveau qui semblait découler de la Guerre, de nouveaux marchés s’ouvraient à qui voudrait bien les prendre. Paris, Madrid, Berlin et ses zones d’occupation, mais surtout les USA : New York, Washington… Los Angeles… Les grands donneurs de leçons de la planète n’étaient sans doute pas des saints. Et s’ils l’étaient… il était temps de les corrompre un peu…
Los Angeles – 1958
Don Camillo Di Marzio avait 47 ans. Cela faisait 10 ans qu’il s’était établi à Los Angeles avec quelques hommes de confiance et avait fait fructifier la familia comme le Capo lui avait demandé. Le Capo. Son père. Et les affaires marchaient plutôt bien. Hollywood était une mine pour qui savait frapper aux bonnes portes. Et Don Camillo ne s’en était pas privé. Bien sur, il avait aussi investi les rues, mais les studios de cinéma étaient oh combien plus gratifiants. Etre invité par la MGM aux cocktails huppés et rencontrer les huiles de la ville assuraient une certaine respectabilité, et une latitude pour opérer. Le quartier italien leur appartenait, et Don Camillo espérait bien que cela dure longtemps.
Mais à ce jour, sa fierté allait à son fils, Alfonso. Il avait 20 ans et il prenait officiellement place à ses côtés pour gérer les affaires. Alfonso Di Marzio serait appelé à diriger la familia un jour. Il était temps de le faire savoir, aussi bien au clan qu’à leurs adversaires.
San Diego – 22 novembre 1972
Alfonso Di Marzio arpentait la maternité d’un pas nerveux. Sa précieuse épouse Norma était en train de mettre au monde leur premier enfant. L'Heritier. Alfonso avait choisi de les installer loin de Los Angeles où il opérait. Il avait d’ailleurs connu Norma au zoo de la ville, et ne lui avait pas dit grand-chose de sa vie. Pour elle, il travaillait dans l’import-export. Ils s’étaient mariés deux ans plus tôt. Cet enfant avait un peu mis de temps à arriver, mais à ne se voir que le week-end, que pouvaient-ils en attendre ?
Don Camillo avait d’ailleurs trouvé farfelu qu’Alfonso se cache de son épouse. Après tout, elle n’était qu’une femme… Mais Norma n’était pas n’importe quelle femme. Elle était la fille d’un sénateur en vue. Habituée au beau monde, à l’ordre et au respect de la loi. Alfonso savait que si sa douce épouse découvrait ce qu’il était vraiment, il ne la reverrait plus.
Lorsque l’infirmière passa la porte, Alfonso se précipita.
- Votre fille se porte à merveille !
Sa fille ? Et l’héritier alors ?
Déçu, Alfonso alla rejoindre une Norma rouge, épuisée, échevelée, tenant dans ses bras une couverture gigotante et hurlante avec un sourire angélique.
- Regarde notre petite fille ! Pourra-t-on l’appeler Ornella ? C’était le nom de ma grand-mère…
Alfonso se pencha sur le petit visage. Sa déception n’était plus qu’un lointain souvenir.
San Diego – Octobre 1983
Ornella se souviendrait toujours de ses 10 premières années comme d’une période de bienheureuse ignorance. Elle grandit dans un des quartiers en vue de la ville, avec sa mère et ses deux frères cadets. Elle vouait une véritable adoration à son père qui, bien que souvent absent, la traitait comme une princesse. Alfonso, bien que Norma lui ait donné les fils qu’il espérait, continuait de considérer Ornella comme l’héritière de la famille Di Marzio. Dans ses rêves les plus fous, la petite Ornella, avec son caractère fort, dirigerait d’une main de fer le clan et ses vieux décatis.
En attendant, il se contentait de la couvrir de cadeaux et d’encourager tout ce qui ressemblait à de l’autorité, du tyranisme et de la détermination.
Ornella pourtant, à la veille de son 11eme anniversaire, se sentait triste. Cela faisait trois mois que son père n’avait pas donné signe de vie. Elle lui avait pourtant préparé un beau dessin… Sa mère avait promis qu’il serait présent pour son anniversaire, mais l’expression inquiète de Norma n’avait pas rassuré l’enfant.
Cette derniere avait fini par se douter que son mari n’était pas un saint, mais elle avait renoncé à trop en savoir, se contentant de dépenser l’argent qu’il lui ramenait. Elle devint notamment une des plus généreuses donatrices de sa paroisse.
Ornella jouait donc dans la cour de récréation de son école lorsqu’un des « gros bras » de sa classe l’apostropha.
- Bouh sale ritale ! Tu ferais mieux de retourner dans ton trou à rat ! - Il vaut mieux être une sale ritale qu’un crétin d’irlandais ! - Ah ouais ? Bah au moins, mon père n’est pas devant un tribunal !
Devant l’air interdit de l’enfant, le groupe se mit à rire.
- Quoi, tu sais pas que ton père est en train de se faire juger pour ses trafics louches ? - Elle ne lit pas les journaux ! - Ha mais c’est ca, personne ne t’a appris à lire !
Ils partirent d’un éclat de rire quand l’enfant se précipita vers eux pour se battre. Bien sur, Ornella n’était pas de taille. Ils la repoussèrent sans ménagement.
- Retourne dans ton trou, petite ritale… vous n’êtes qu’une bande de parasites ! C’est mon père qui le dit, et il a raison ! Allez venez !
Retenant ses larmes, Ornella se releva et sortit discrètement de l’école. Elle s’arrêta devant le premier kiosque venu et chaparda un journal.
C’était là, en gros titre. Son père, bras droit du clan Di Marzio, accusé de proxénétisme, de trafic d’armes et de blanchiment d’argent. Elle ne comprenait pas tout, à part que c’était très mal. Autours d’elle, le monde continuait de tourner, mais au fond, elle savait qu’elle avait perdu son père. Et son enfance.
Cette année là, son père ne vint pas pour son anniversaire.
San Diego – juillet 1989
- OU EST CE PETIT CON !
Don Alfonso Di Marzio était comme fou. Sa précieuse petite Ornella avait été souillée par un homme, qui en plus avait eu le culot de la laisser enceinte.
Alfonso avait fini par hériter de la direction du clan, et si Ornella lui battait froid depuis des années sans qu’il ne comprenne pourquoi, il continuait de la vénérer. Elle voulait faire du droit. Grand bien lui fasse, elle gérerait les affaires plus facilement. Mais là… Ornella avait fricoté avec un des membres du clan. Julio Falconi, un jeune freluquet de 25 ans. Il n’avait mis les pieds qu’une seule fois à la maison de Sans Diego, mais cela avait suffit au jeune homme pour repérer la jeune fille, et à Ornella de voir en lui un moyen d’atteindre son père. Elle avait réussi.
- NORMA ! TU L’EMMENES A L’HOPITAL ! - PAPA ! C’EST HORS DE QUESTION ! - TU NE METTRAS PAS AU MONDE UN BATARD FALCONI ! - POURQUOI ? PARCE QUE TU NE L’AS PAS APPROUVE ?! [/]- PARFAITEMENT !![/i]
Ornella claqua la porte de sa chambre. Elle envisagea de rester là pendant les 6 mois restant de sa grossesse mais elle ressortit aussitôt.
- TU NE FERAS RIEN ! - AH VRAIMENT ? - Oui, vraiment…
Elle descendit au salon avec un sourire mauvais.
- Tu ne feras rien, sinon j’irai voir la police. Je leur dirai ce que tu trafiques et où tu caches tes papiers. Et cette fois, aucun avocat ne pourra t’acquitter.
Alfonso avait blêmi. Il avait commencé à introduire ses deux fils dans le clan, mais il avait toujours reculé l’échéance pour Ornella. Mais elle savait. Elle en savait même beaucoup.
Dans la cuisine, Norma avait porté la main à sa bouche.
- Tu ne peux pas faire ca… - Au choix… Tu me laisses avoir le petit batard, ou tu finis dans une cellule pendant le temps que tu mérites… C'est-à-dire trop longtemps pour assister à mes funérailles. C’est un marché qui me plait… Qu’en dis-tu ?
La gifle retentit dans toute la maison. Pourtant, Ornella avait gagné. Alfonso était sortit d’un pas vif sans plus regarder sa fille.
Los Angeles – 24 décembre 1997
La journée avait été dure. D’après ses collègues plus aguerris, ce serait toujours ainsi. Le bureau du procureur ne connaissait pas de repos. Le C.R.A.S.H leur fournissait assez de travail pour les occuper 24/7. Ornella était frustrée que certains cas passent à la trappe, mais ils ne pouvaient faire mieux.
Son diplôme de UCLA en poche, elle avait rejoint le bureau du procureur de Los Angeles. Etre diplomée et élever Rick, son enfant, n’avait pas été facile. Mais il était sous la bonne garde de sa mère. Alfonso lui, ne quittait plus Los Angeles : la rebuffade d’Ornella avait donné du courage à sa mère qui, sans demander de divorce, avait indiqué à Alfonso qu’il ne pourrait repasser le pas de la porte que s’il renoncait à ses activités illicites. Par contre, Norma continuait de dépenser l’argent de la mafia.
La chance d’Ornella était d’avoir eu son enfant avant de rejoindre l’université. Personne à Los Angeles ne connaissait l’existence de son enfant. Et les histoires macabres qui circulaient sur le campus et dans le bureau du procureur la renforcait dans sa conviction : moins on en savait de sa famille, mieux ce serait. Elle n’avait déjà pas pu cacher sa filiation avec Don Alfonso Di Marzio. Il était hors de question que son fils soit pris dans cette tourmente. Elle avait d’ailleurs appris à cacher ses sentiments, surtout pour le protéger, et se protéger elle-même : elle n’avait pas envie de mordre la poussière une nouvelle fois parce que quelqu’un avait touché un point sensible.
Mais ce soir, ca n’avait que peu d’importance. C’était Noël, c’était relache. Elle allait retrouver sa mère et son fils à San Diego, et rien ne pourrait entamer sa sérénité.
Los Angeles – 2000
- Il fait une erreur, si tu veux mon avis…
Ornella avait 28 ans. Après 3 ans comme adjointe du procureur, il était encore tôt pour passer procureur, mais elle avait bon espoir.
- Le gouverneur n’a pas trop le choix…
Son collègue, Pete Thomson, voyait dans la dissolution du C.R.A.S.H une épine de moins dans son pied. Ornella considérait qu’il s’agissait de la disparition d’un outil précieux.
Elle avait vu avec une certaine délectation son père se faire inculper et incarcérer par le bureau du procureur, pour de longues années. Le clan Di Marzio n’était plus que l’ombre de lui-même. Elle-même avait contribué à mettre derrière des barreaux certains de ses membres, comme ceux d’autres organisations et gangs. Elle avait acquis une solide réputation dans les salles d’audience, mais aussi dans les bureaux : les hommes étaient nombreux à s’être casser les dents en tentant de décrocher un rendez vous, et plus si affinité. Mais les élus étaient rares.
Ornella avait voué sa vie à deux choses : éliminer les truands, de n’importe quelle manière, et protéger son fils. Ce dernier faisait d’ailleurs ses études dans un internat, à l’autre bout du pays. Il avait d’ailleurs pris un accent New Yorkais qui agacait prodigieusement Ornella. Mais c’était le prix de la tranquillité. Elle espérait qu’il trouverait une fille de la côte Est, qu’il s’y établirait et qu’il y resterait le plus possible, aussi dur que cela soit pour elle.
Los Angeles, Inglewood – 2010
- Le retour du C.R.A.S.H est pour moi une bénédiction, Inspecteur Mourning. Je compte sur vous pour remplir un peu mon agenda d’audiences… Nous sommes d’accord ?
Elle avait réussi. Elle était procureur pour Inglewood et mettait un point d’honneur à lessiver son secteur. La restauration de la brigade dans ses fonctions l’avait réjouie. Elle n’avait jamais connu de période aussi fructueuse que ses premières années au bureau du procureur. Elle était ravie de remettre le couvert. Bien sur, cela voulait dire jongler avec les affaires internes qui cherchaient des poux dans la tête de « ses » agents les plus efficaces. Cela voulait dire aussi enchainer les audiences assez rapidement pour ne laisser personne échapper à la justice. Sa justice.
Ces truands n’avaient que ce qu’ils méritaient. Oh un coin de son esprit lui disait bien qu’un jour, ses précieux amis du C.R.A.S.H seraient rattrapés par leurs vices. Soit parce qu’ils seraient allés trop loin, soit parce que leur secteur serait enfin propre. Mais peu importait. Ils seraient alors considérés comme des truands comme les autres. En attendant, ils étaient bien trop précieux.
It is what it is
Inglewood est SON secteur. Même si elle n’est pas juge, elle considère qu’il est de son devoir d’administrer la justice. Pourquoi embêter un juge avec des policiers du C.R.A.S.H un peu sales, quand les rues regorgent d’assassins, de dealers et de proxénètes que ces mêmes policiers s’empressent d’arrêter ? Ils servent la loi, peu importe comment, et pour cela, ils méritent la clémence. Jusqu’à un certain point, bien sur. Mais ce point n’a pas encore été atteint. Elle juge par contre d’un très mauvais œil les agents des affaires internes, qu’elle considère à peine mieux que des traitres. Des flics pour poursuivre des flics ? Ca la met hors d’elle. De même que les avocats trop pressés de défendre les truands. Ces derniers représentent pour elle une famille malheureuse, son père qui ne rentre pas pour son anniversaire, les mensonges et la violence. Elle poursuit sans doute une sorte de vengeance envers Alfonso Di Marzio, mais il faudrait un psy pour le déterminer XD
Behind the screen
Pseudo : Lili Âge : 29 ans (glad not being the elder !!) Comment as-tu connu le forum? : y'en a une qui m'a filé le lien, et j'ai trouvé le fofo bien sympathique Une remarque ? : Non Présence : 7/7 normalement, sous réserve de mon boulot, comme beaucoup j'imagine Double Compte : nop Code du règlement :
Dernière édition par Ornella Di Marzio le Dim 3 Avr - 21:34, édité 3 fois
Et techniquement, j'ai pas filé le lien. Enfin si. Mais je lui montrais mon voyage parmi les forums et en tombant sur Crash, j'ai dit que j'en tenais un sympa pour moi parce que gonflé d'hispaniques, de noirs et etc avec un back bien comme j'aime, elle m'a demandé le lien sachant que j'ai bon goût
Bon ! Il est 23 h 30, j'ai une fichue formation demain toute la journée, donc je ne pourrai pas passer (peut être en rentrant, demain soir... on verra), c'est pour ca que je me suis démerdée pour finir ce soir, mais pitié, dites moi que ca va lol j'ai des crampes dans les épaules à force, j'ai plus l'habitude de taper autant MDR...
Bon, en tout cas, j'ai bien déliré moi...
BONNE LECTURE !
Je suis tarée... mais j'ai fini...
« Invité »
Invité
Sujet: Re: Ornella Di Marzio Dim 3 Avr - 21:57
Peut-être tarée, mais j'adore Après, Mourning veut valider lui-même les les fifiches, surtout quand ça concerne un peu le CRASH de près ou de loin
Mais je le soupçonne de vouloir exercer un droit de cuissage
Uniquement les PVs, pas n'importe qui qui touche au groupe Avoue que tu veux pas bosser
Bref! Tout ça est excellent ma foi, j'aime beaucoup ce personnage et pas uniquement parce qu'elle est du côté des pourris Et puis c'est notre première Law & Disorder
Tu es validée! Tu peux désormais aller créer tes fiches de liens et de sujets ICI, faire tes demandes ICI et bien sûr passer faire un tour dans le flood ICI pour mieux faire connaissance si l'envie t'en dit.
Alors à savoir que la rédaction de cette fiche m'a couté une fatigue énorme pour ma formation d'hier, et que du coup, j'ai été d'une humeur de chien toute la journée je crois que le formateur s'en souviendra lol