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 Fait moi saigner [Aaliyah]

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Fait moi saigner [Aaliyah] _
MessageSujet: Fait moi saigner [Aaliyah]   Fait moi saigner [Aaliyah] EmptySam 9 Avr - 22:33

Fait moi saigner.


Fait moi saigner [Aaliyah] 6jj5nd3vfa7skjob
Extrait des mémoires de Valky Blackthorn.

Je me rappelle très bien de la première fois où j’ai baisé Aaliyah. C’était la nuit, il faisait une chaleur torride et on a fait ça sur la banquète arrière de la bagnole sans même prendre la peine de retirer la tête coupée posée sur le siège passager. Faut dire que c’est à cause d’un macchabé que nous nous somme rencontrées toutes les deux. Alors si le cadavre voulait jouer au voyeur ; il ne s’en est pas privé. Ce n’est pas moi qui allais prendre la peine de fermer ses yeux exorbités ou de rentrer sa langue noire. J’espère qu’il a apprécié le spectacle. Parce que moi j’ai passé une de mes meilleures soirées.

Pourtant tout avait commencé calmement. Presque la routine. Lorsqu’en fin d’après midi, j’ai mis ma cagoule et mon sabre dans le coffre, rien ne me laisser présager que j’allais coucher avec une rivale et camarade de profession. C’est encore de la faute à Sergueï. Avec ses grands yeux bleus, il se permet de me foutre dans des situations possibles. Gentille comme je suis, je le crois toujours lorsqu’il me dit dans une bouffée de cigarette : « Ne t’inquiète pas petite Panthère, tout se passera bien ; un meurtre facile. Un jeu d’enfant pour toi. » Ok, je reconnais, ça a été une partie de plaisir. Mais on est passé qu’à quelques coups de sabres du massacre.

Un connard – se prenant pour un mac – s’amusait à tabasser quelques putes de la Mafia, sous prétexte qu’elles tapinaient sur ses trottoirs. On l’a averti une fois, diplomatiquement. Il n’a rien voulu entendre. Ivanov a décidé de l’avertir une seconde fois. Vous savez ce genre d’avertissements décapitants, contre lesquelles, la victime semble avoir avalé sa langue, tellement elle en devient silencieuse.

La routine. Je crochète la porte de l’appartement du gars. Je rentre. Il était sérieusement défoncé. Il m’a regardé les narines blanches de poudres, avec un regard vitreux et a sorti la réplique la plus conne que j’ai jamais entendue : « Maman c’est toi ? » Je ne sais pas si mère avait coutume de venir chez lui en cuissardes, combi noire et cagoule avec un sabre à la main, mais je l’ai rapidement détrompé. On a commencé en douceur. Un bâillon sur la gueule. Deux couteux plantés dans la paume des mains pour le crucifier au lit comme l’enfant Jésus. Du sang partout, des râles. J’étais encore en train d’hésiter à le ramener vivant au club, pour jouer un peu plus longtemps avec lui, lorsque la porte s’est ouverte. Toutes les éventualités ont traversé ma tête encagoulée : « un flic, un garde du corps, une pute, sa mère ? » A aucun moment je n’aurais imaginé voir débarquer une gamine avec un silencieux. Pire que ça, elle aussi semblait être une vrai pro.

Je l’ai menacé, elle m’a menacé. Katana contre flingue. Un beau massacre en perspective. Une minute à coulé au rythme du sang gouttant sur le plancher. On a fini par parler toutes les deux. Comprendre avant de se faire mutuellement la peau. Je ne suis pas une brute. Du moins pas totalement. Elle m’a raconté qu’elle aussi avait un contrat sur le mec. Même job, pas le même employeur. Visiblement notre pote agonisant avait fait plus que taper des putes Ruskoffs. J’ai vu le moment, où j’allais l’égorger elle aussi. Un vrai crève cœur, de trucider une beauté avant d’avoir pu goutter sa peau. Bien sur le corps serait resté tout ce qu’il y a de plus affriolant. Mais en règle générale j’évite de trop toucher aux cadavres. J’aime pas la chair froide. Heureusement elle m’a proposé un arrangement qui pourrait concilier nos deux missions.

Buter la proie à deux ; puis se partager le corps. J’ai bien négocié, j’ai obtenu de garder la tête. Plus synchro que nous, ça n’existe pas. J’ai décapité le mec au moment où elle lui tirait une balle dans le cœur. Propre, sans bavure et presque sans éclaboussure. L’histoire aurait pu s’en arrêter là. On s’est regardé, le courant est passé de suite. Cinq minutes plus tard, on était en train de jouer dans ma bagnole aux pieds de l’immeuble. Si les flics n’avaient pas fait entendre leurs sirènes nous y serions encore. Depuis nous somme restée en contact. La simple partie de langues, s’est transformée en relation presque durable. Du moins autant qu’il peut en être possible pour deux sœurs aussi dissemblables. Faut pas abuser, ça reste une porte flingue. Et je n’aime pas l’odeur de la poudre.


¤ ¤ ¤

Deux heures du matin, le dojo était parfaitement silencieux. Un vrai désert de parquets miroitant, de tatamis assouplis et de glaces lumineuses. Valky venait souvent s’entrainer la nuit. Oncle Do, toujours bonne pâte quand aux caprices de son élève chouchoute lui avait faire un double des clés. Il savait mieux que quiconque que la pratique du sabre ou des arts martiaux, n’atteignait sa plénitude que dans le silence le plus parfait. Mais ce soir la Tueuse, allait faire une entorse à son entrainement solitaire. Comme pouvaient en témoigner les deux katanas croisés sur le sol, elle ne serait pas seule pour faire jaillir des étincelles d’acier sous la Lune.

L’invitation avait été courte et concise. Un simple texto adressé au portable de sa camarade de plaisir : « Cette nuit, deux heures, au dojo du Tigre Blanc. On va jouer avec des lames. » Passionnée par la mise à mort manuelle, sans intermédiaire déflagrant, Valky entendait bien à convertir sa collègue aux douloureuses jouissances de l’escrime japonaise.

Des chandelles de cire brulaient sur tout le pourtour de la pièce. Leurs flammèches tremblotantes épargnaient à la Panthère la contrainte d’avoir à user d’un éclairage électrique. Oncle Do était prévoyant. Il y avait toujours des cierges dans un coffre à disposition des escrimeurs. Un des katas permettant d’atteindre la perfection dans la maitrise du sabre, consistait à trancher des mèches brulantes, le plus rapidement possible. Simple comme bonjour, lorsqu’on trainait seize années de pratiques comme Valky, mais toujours idéal pour se chauffer le corps et l’esprit.

Le dos à la porte coulissante permettant d’atteindre la salle de duelle, la Tueuse se regardait dans la glace. Assombrie par la pénombre orangée, sa peau glacée par les vents sibériens et ses origines de l’Est enneigée, se parait de reflets incendiaires, entres les pans du kimono défait. La belle était charnelle, jusque dans le combat. Elle souhaitait toujours offrir la plus grande surface de peau aux sifflements de l’acier. Pas de string, juste un soutien gorge et la tenue d’entrainement s’arrêtant à mi cuisses. Valky restait nue sous le coton immaculé.

Poussée avec adresse, la porte de papier huilée, coulissa derrière la Russe. Un sourire impatient sur les lèvres, la Mafieuse se retourna pour acceuillir son invité. Troublée par le mouvement souple et pas encore nouée, la ceinture noire du kimono ouvert vola dans l’air. Simple ornement d’ombre, la sangle de tissus était le soyeux témoignage de l’adresse martiale de la Panthère.

-Bonsoir Aaliyah. Prête à danser avec moi ?

L’écho des paroles rebondissant sur les parquets cirés et les murailles de bois, la voluptueuse tueuse avança ses pieds nus de quelques pas en direction de son invitée.


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Fait moi saigner [Aaliyah] _
MessageSujet: Re: Fait moi saigner [Aaliyah]   Fait moi saigner [Aaliyah] EmptyDim 10 Avr - 10:01

Sa Précedante mission


Aaliyah avait reçue l'ordre d'éliminer une cible vraiment génante pour eux,car il en savait beaucoup trop sur leurs organisations qu'il devait tout simplement mourrir,Aaliyah était une professionnel depuis maintenant Quatre ans,au tout début de sa formation,elle avait vraiment peur et avait également beaucoup d'apréhension sur le futur rôle qu'elle jouait comme il fallait.

Mais ce que Aaliyah n'avait absolument pas prévue,c'est qu'une autre personne avait également la même mission qu'elle,c'est à dire éliminer la même cible,mais cette personne qui avait le même contract qu'elle était également une fille...Qui est également une bombe sexuelle,il fallait l'avouer.Puis cette rencontre brutal c'est terminer en baise avec cette magnifique jeune femme dans la banquette arrière d'une voiture avec la tête du maccaber qui nous regardait,il avait les yeux exhorbiter que cela me plaisait,quand à la fille,dison que pour faire simple,elle faisait également l'amour comme une déesse,et cela ne déplaisait pas à Aaliyah,et elle avait pris également son pied comme jamais elle ne l'avait fait.

Mais remontons en arrière je vous prie,cela avait commencait en fin d'après midi,il faisait une de ses chaleur,Aaliyah quand à elle,avait reçue l'ordre d'éliminer un connard qui avait fait du chantage à ma famille et qui s'apprêtait à tout révéler à la presse,cela ne faisait vraiment pas plaisir à mes employeurs qui n'était qu'autre que mes chère et adorable parents,mais c'était plus mon père qui voulait que je m'en débarasse,étant au service de mon père et de ma mère depuis longtemps,j'obeissais sans discuter à leurs ordres,et cela ne me dérangeait absolument pas.

-Courage ma petite Aaliyah,tu as déjà éliminer plein de cible,celle là sera extremment facile à éliminer,tu véras.

Son père lui avait dit qu'il lui avait mis en gardes une fois cette personne de ne pas diffuser ses photos dans le journal,sinon,il en payerais le pris,bien entendue,l'homme n'avait pas écouter,et il ne pouvait plus le tolérer,de plus,il avait ridiculiser les hommes de mains de son père...Voilà une chose que Aaliyah détestait plus que tout,qu'on se moque et qu'on humilie ses parents...Ses employeurs,car pendant la journée,ce n'était plus ses parents,néammoins,elle les respectes toujours car selon eux,ils sont aussi important en employer.

Mes employeurs m'avaient indiquer l'adresse où il habitait,une fois l'adresse donner,je mis ma tenue de professionnel,c'est à dire cagoule et pistolet avec un silencieux,j'adorais ce pistolet car il me suivait partout où j'allais,je pris donc ma voiture et me dirigea vers l'appartement de ma cible...Une fois arriver devant chez lui,je sortit de ma bagnole et j'arrivais tout doucement chez lui,mais je fût surprise que la porte de son appartement était déjà ouverte,je me posais des tas et des tas de question,est-ce qu'une autre personnes aurait le même contract que moi?c'était improbable voire impossible,pourtant,je devais aller voir par moi même.

J'était entre dans la maison de ma cible quand j'apperçut ma cible attacher et baillonait par une autre jeune fille qui était également très séduisante,décidément,je ne m'attendais pas à trouver une canon comme elle en pleine torture,je remarquais donc que ses méthodes était celle des mafias Russe...C'était donc une fille de la mafia russe,intéréssant comme situation,quand je vis l'autre tueuse se retourner et pointer son sabre katana sur moi et elle avait mon flingue pointer sur elle,nous nous échangions des regarts qui voulaient dire"Si tu me tue,je te tue"Puis elle et moi avons finalement discuter et de comprendre comment ont a pu avoir le même contract sans le vouloirs,puis,ont voyais que notre cible commencait à agoniser,ce qui était marrant dans cette histoire,c'est qu'ont avaient décider ensemble de le buter,je me chargeait de le tirer une balle en plein coeur tandis que l'autre tueuse se chargeait de lui couper la tête en même temps,original certe,mais amusant.

Puis peux de temps après,on c'est regardé elle et moi,le courant est bien passer entre nous,puis au bout d'un moment,elle et moi avions commençait à faire l'amour dans sa bagnole sur la banquette arrière,mais malheureusement,ses maudit flic se sont pointer à notre petite fête,ce qui était désolant,et finalement,nous sommes devenues des amies et avons décider de garder le contact pour des occasions futur.


Le Moment Présent


Il était Une heures du matins,Aaliyah n'arrivait pas à dormir,elle repensais aux dernier évènements qui l'avait vraiment marquer,pour elle,sa rencontre avec l'autre jeune fille l'avait profondément marquer...Qui ne le serait pas d'ailleurs,une telle beauter comme elle,on ne peut pas oublier une rencotre de cette sorte.La Jeune Tueuse n'arrivait plus à trouver le sommeil,car cette jeune fille l'avait vraiment toucher,il fallait vraiment qu'elle la revoit pour faire plus ample connaissance...Où peut être pas,ce qui est sûr,c'est qu'Aaliyah a vraiment envie de s'éclater de nouveau avec elle,et elle le ferais,quand son téléphone se mit à sonner,elle avait reçue un SMS de la part de la jeune fille qui avait fait battre le coeur comme jamais une fille ne lui avait fait.

Ce méssage disait qu'elle devait la retrouver à Deux heures du matin au dojo du tigre blanc,contente d'avoir enfin des nouvelles de la jeunes filles,elle se dépêcha de s'habiller et de prendre sa voiture pour aller la retrouver à l'adresse indiquer,une fois arriver au Dojo,une fois à l'interieur elle vit la jeune fille avec qui elle avait baise,elle était décidement plus mignonne encore en Kimono,elle lui sourit et lui dit


"Avec plaisir belle demoiselle"
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Fait moi saigner [Aaliyah] _
MessageSujet: Re: Fait moi saigner [Aaliyah]   Fait moi saigner [Aaliyah] EmptyMer 13 Avr - 0:47

Les délicates narines se froncèrent imperceptiblement lorsque la Russe capta dans l'air les brises florales et précieuses du parfum d'Aaliyah. L'odorat était un de ses sens préféré. Plus animale que féminine, Valky aimait dans les tourbillons passionnés, à frotter son nez contre la peau de ses amants ou de ses maitresses pour en savourer les suaves effluves. Chaque corps, chaque être, dégageait sa propre odeur ; calme et apaisante chez les enfants en bas âge, tel un bouquet printanier reposant sur une table. Ou au contraire lourde, ennivrante, exitante, chez les être épanouis, comme une rose gorgée de soleil qui laisserait échapper les dernières notes de ses senteurs pour saluer le crépuscule. Les voluptés d'Aaliyah avaient leurs propres fragrances, un mélange électrisant, dont les pétales n'étaient pas sans rappeler la décadence de deux corps souples s'entrelaçant sur la banquette arrière d'une voiture.

Odeurs - souvenirs ; parfums - désirs. Les associations s'effectuaient avec une orgiaque célérité dans l'esprit impatient de la tueuse. Involontairement, sans mettre sans rendre compte, elle se pourlécha les babines, d'une langue humide et tentante, qui glissa sur le charme d'un sourire oubliés aux deux lèvres frémissantes. Oui elle avait envie d'Aaliyah. Pas d'un simple échange de caresses ; non elle voulait posséder le corps de son homologue. Taillader sa peau, pour goutter son sang, griffer son ventre, pour se frotter contre elle, ou tout tendrement déchirer la nuque, pour y enfouir tendrement son visage, dans une étreinte câline aux accents démoniaques. L'envie, le besoin de s'épancher dans un feu d'artifice de sulfureux ébats, attisait la violence de la Mafieuse, qui ne rêvait plus que de commencer à se confronter dans la douleur à sa partenaire d'un soir.

Oiseaux blancs, aux doigts de plume, les mains de la Russe, volèrent autour de sa taille pour resserrer les pans du Kimono, voiler son attirante nudité épilée, et nouer la ceinture noire d'une boucle artistique. Le mouvement, avait été aussi rapide qu'harmonieux. A aucun moment Valky n'eu à baisser les yeux pour s'assurer de l'excellence de son ouvrage, au contraire tout du long qu'elle joua avec la sangle d'ombre et de coton, elle laissa son regard dériver sur le corps de son interlocutrice. D'abord le visage, qu'elle rêvait d'embrasser et de gifler, puis la nuque qu'elle voulait chatouiller et martyriser, ou encore la poitrine qu'elle s'imagina suçoter et griffer. Aaliyah, était encore vêtue, et pourtant la Mafieuse, n'avait aucun mal à se représenter la pâleur de la peau voilée d'étoffes, le jeu des veines écarlates ou bleutées courant sous l'épiderme, les courbes élancées des muscles déliés, ou le galbe de jambes interminables. Le corps féminin était une harpe ; un sublime instrument à même de composer les plus sublimes harmonies mêlant souffrance et plaisir, orgasme et agonie.

-Attends que le jeu commence pour parler de plaisir.

Vallky n'était pas une grande bavarde. Sang russe, feu polaire, elle agissait vite et parlait peu. A peine la conversation débutée avec Aaliyah, qu'elle se détourna et s'approcher des deux Katanas posés sur le sol. Glissant son petit pied nu et blanc comme neige, sous la lame du premier elle donna un petit coup vers le haut. L'arme s'envola, tournoya dans la pénombre en lançant des eclairs d'argent, avant qu'elle ne la rattrape en main. Une manière élégante de dégainer. Une manœuvre d'intimidation à l'encontre de son amie, visiblement bien trop insouciante. D'un second geste parfaitement équivalent, la Tueuse ramassa le deuxième sabre. Un souffle d'acier dans chaque main ; ambidextre en majesté. Enfin elle termina son tour de salle en allant récupérer un petit kimono blanc, qu'elle ramena à Aaliyah planté au bout d'une lame.

-Déshabille toi. Et met le Kimono par dessus tes sous vêtements.

Libérée, l'étoffe blanche tomba au pied de la tueuse qui n'était pas encore en tenue de combat. Les deux sabres toujours en main, Valky eu un sourire provoquant.

-Dépêche toi, ou je te découpe chacun de tes vêtements à coup de lames ; avant que tu n'ai eu le temps de les ôter.

La Mafieuse était impatiente, excitée. Elle avait envie de commencer à jouer avec sa chérie.
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